Peur d’échouer, de décevoir ses parents, de s’éloigner de ses proches…
Et si « l’angoisse de l’orientation pouvait être une alliée », comme l’explique Emmanuelle Vignoli* ?
▶ Oui l’anxiété peut être galvanisante si les choix d’orientations sont considérés suffisamment tôt.
▶ À contrario, si l’enfant se retrouve prisonnier d’un temps restreint pour définir ses choix, cette anxiété pourtant profitable à l’origine va venir troubler son raisonnement.
Il devient obliger de faire par obligation, car « il faut que je choisisse », « je dois trouver ma voie », pour « rendre fière », être fort 💪
▶ Avec les outils de la méthode Studicap®, c’est dès la 4ème que nous travaillons sur les choix d’orientations.
Donnant sens et intérêts au stage de 3ème, pour se tourner naturellement vers les bonnes spécialités des (éventuelles) options post-bac.
▶ Moralité ? Plus les capacités et désirs profonds de l’enfant seront considérés tôt, plus sa parole sera en relation avec ce qu’il est vraiment et plus les possibilités sont plus faciles trouver !
* Emmanuelle Vignoli – Professeur CNAM et coresponsable de l’équipe psychologique de l’orientation au centre de recherche sur le travail et le développement (CRTD).
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